Le scandale ARCOM : manœuvres politiques et censure autoritaire - ASLA

Le scandale ARCOM : manœuvres politiques et censure autoritaire

Décisions récentes de l’ARCOM : un scandale sans précédent

L’ARCOM vient d’annoncer le retrait de C8 et NRJ12 de la TNT ; elles seront remplacées par une chaîne du groupe Ouest-France et de Daniel Kretinsky.
Cette décision scandaleuse porte un coup dur à la pluralité d’opinions en France et montre que, lorsqu’elle se sent menacée, la gauche utilise des méthodes de censure dictatoriales.
Les chaînes du groupe CANAL+ sont les seules à donner véritablement la parole aux patriotes. Si nous n’agissons pas, CNEWS est la prochaine sur la liste.

Scandales et magouilles politiques à l’ARCOM

L’ARCOM est une autorité administrative dont les membres sont nommés par le pouvoir politique, ce qui met en doute son indépendance et son objectivité. Le président de l’ARCOM est nommé par le président de la République, tandis que les autres membres sont nommés par les présidents de l’Assemblée nationale, du Sénat, du Conseil d’État et de la Cour de Cassation.

Laurence Pécaut-Rivolier, nommée à l’ARCOM en 2021, a été 8e sur une liste PS/EELV lors des élections municipales à Gentilly, une information étrangement absente de sa biographie officielle.
Alban de Nervaux, directeur général de l’ARCOM, est marié à la directrice du think tank pro-migrants « Destin Commun », financé par George Soros.

La première attaque contre CNEWS

L’ONG Reporters Sans Frontières (RSF), pourtant fervent défenseur de la liberté de la presse, publie un rapport dénonçant le manque de pluralisme sur CNEWS. Celui-ci est rédigé par François Jost, un universitaire de gauche.
Ce rapport a été transmis à l’ARCOM, qui a décidé de se soumettre aux exigences des bien-pensants en forçant CNEWS à respecter le pluralisme sous peine de condamnations, tout en se cachant derrière la loi du 30 septembre 1986. Or, cette loi ne concerne que les invités et non les chroniqueurs et les journalistes ! Elle est simplement utilisée comme prétexte pour intimider la seule chaîne donnant la parole aux patriotes.

La menace de disparition

Après C8 et NRJ12 en ce mois de juillet 2024, l’ARCOM décidera de renouveler ou non l’autorisation de CNEWS à émettre sur la TNT en mai 2025. Si rien n’est fait, CNEWS pourrait disparaître des ondes.
L’ARCOM s’appuie sur la loi de 1986 pour justifier son contrôle médiatique et essayer de censurer CNEWS de la télévision française. Cette ancienne institution bureaucratique est devenue un symbole de la mentalité autoritaire en France.

Lançons la riposte contre les flics de la pensée : exigeons la dissolution immédiate de l’ARCOM

Lorsqu’elle se sent en danger, la gauche retourne à ses anciens réflexes staliniens. Journalistes, universitaires, ARCOM : la coalition anti-CNEWS s’active pour faire taire les voix des patriotes et préserver l’hégémonie culturelle de la gauche. Mais les Français doivent pouvoir décider eux-mêmes de ce qu’ils veulent regarder.
L’ARCOM, devenue inutile et servant uniquement à protéger les intérêts de la gauche, doit être dissoute pour défendre le véritable pluralisme et la liberté d’expression.

Il est impératif de se mobiliser contre cette décision scandaleuse et anti-démocratique afin de défendre la liberté d’expression et le pluralisme des idées. Dès maintenant, exigeons la dissolution de l’ARCOM !
Il est temps d’organiser une contre-offensive contre ces flics de la pensée politisés qui cherchent à bâillonner les patriotes.

Alors signez dès maintenant notre pétition pour la dissolution de l’ARCOM, qui compte déjà bientôt 10 000 signatures