Pas de trêve de Noël pour les lanceurs d’alerte
Nous sommes quelques jours après Noël.
La maison a retrouvé son calme. La joie des enfants et les rires des discussions sont encore suspendus dans l’air.
Bientôt la nouvelle année.
Mais ce soir, il est seul…
Sur la table, une enveloppe officielle, déjà ouverte.
Quelques lignes sèches, administratives.
Des mots qui pèsent lourd : procédure, convocation, mise en cause.
Il relit.
Il sait pourquoi c’est arrivé.
Il a parlé.
Il a relayé une idée, une alerte, une conviction.
Rien de violent. Rien d’illégal.
La parole d’un homme de droite, attaché à son pays, inquiet pour son présent, et plus encore pour l’avenir.
Depuis, tout s’est enchaîné.
Les messages anonymes.
Les insultes.
Les menaces à peine voilées.
Puis la censure sur les réseaux sociaux, sans explication.
Et maintenant, la pression judiciaire. Froide. Méthodique.
Ce n’est pas un cas isolé.
Ils sont nombreux.
Des jeunes militants intimidés pour décourager les autres.
Des citoyens poursuivis pour l’exemple.
Des lanceurs d’alerte harcelés jusqu’à l’épuisement.
Toujours la même logique : faire taire, décourager, isoler.
La liberté d’expression ne s’effondre pas d’un coup.
Elle se fissure quand parler devient un risque.
Quand la peur s’installe dans les foyers.
Quand on commence à se demander si le silence n’est pas plus prudent.
C’est à ce moment précis que l’ASLA intervient.
Quand la pression devient trop forte.
Quand la machine judiciaire intimide.
Quand tout est fait pour briser une voix et décourager les autres.
Si vous lisez ces lignes, c’est que vous avez compris.
Vous savez que ces combats ne tiennent que s’ils sont soutenus.
Dans les dossiers, dans les recours, avec constance et rigueur, mais aussi publiquement, quand il faut porter une voix que tout cherchait à faire taire.
Et que sans ce soutien, le silence finit toujours par s’imposer.
Alors, en cette fin d’année, votre soutien à l’ASLA est décisif.
Un geste libre, réfléchi, fidèle à ce que vous savez juste.
Merci de votre confiance.
Merci de refuser que la peur gagne.
Votre don ouvre droit à une réduction fiscale de 66 %.
Autrement dit, un don de 100 € ne vous coûte réellement que 34 €.
