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Un procès pour une pancarte alertant sur l’insécurité : Anthony convoqué au tribunal de Montpellier.

Ce mardi 10 juin, Anthony, porte-parole du collectif identitaire montpelliérain Jeunes d’Oc, était convoqué devant le tribunal correctionnel de Montpellier.
Il est jugé pour avoir relayé une action symbolique et pacifique menée devant un lycée de Sérignan, dénonçant les menaces islamistes qui planent sur l’école.

Le 5 novembre 2023, des activistes des Jeunes d’Oc avaient symboliquement fermé le lycée Marc Bloch à Sérignan (Hérault) à l’aide de deux pancartes et d’un ruban de chantier.

On pouvait y lire :

« Dangers islamistes – risques d’attaque au couteau ! Vous n’êtes plus en sécurité – L’immigration tue. »

Cette action faisait écho aux menaces de mort proférées quelques semaines plus tôt par un élève se revendiquant d’Al-Qaïda, ciblant un professeur du lycée.
Deux semaines auparavant, Dominique Bernard avait été assassiné par un élève islamiste dans un lycée d’Arras.

Un procès clairement politique :

  • Anthony a été perquisitionné, placé en garde à vue et est aujourd’hui poursuivi pour avoir communiqué sur cette action au nom de son collectif.
  • Il risque jusqu’à un an de prison et 45 000 € d’amende pour avoir alerté sur un danger pourtant bien réel.

Une justice à deux vitesses :
Alors que les islamistes ou les jeunes racailles qui menacent des enseignants sont rarement inquiétés, c’est un jeune Français qui est traîné devant la justice pour une pancarte.
On criminalise les lanceurs d’alerte et on perquisitionne ceux qui osent parler d’immigration ou d’islamisme.
Ce procès est un procès politique.

Anthony pourra compter sur le soutien total de l’ASLA, qui prend en charge ses frais d’avocat.
Face à l’instrumentalisation de la justice pour faire taire les militants identitaires, nous ne céderons rien.

Aidez-nous à le défendre :
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