Victoire : Jean-Yves Le Gallou relaxé face à la justice
La critique des décisions de justice pro-immigration est un droit.
Ce 8 avril, Jean-Yves Le Gallou a été relaxé par la 17ᵉ chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris.
Poursuivi pour avoir critiqué — dans deux tweets — la juge Florence Nikolic, qui avait suspendu l’expulsion de l’imam islamiste Hassan Iquioussen, il risquait 1 an de prison, 9 000 € d’amende et de dommages et intérêts.
Il avait simplement interrogé les motivations idéologiques d’une décision empêchant l’expulsion d’un prédicateur islamiste.
Le tribunal a reconnu que ses propos relevaient d’une critique admissible d’une décision de justice.
« Les propos poursuivis relèvent de la critique d’une décision de justice, ce qui est admissible tant qu’il n’y a pas d’abus. »
C’est un précédent important :
La liberté de critiquer une décision de justice existe encore et nous devons la faire vivre.
Ce procès avait tout d’une tentative d’intimidation judiciaire contre une critique légitime de la politique migratoire.
Grâce à une défense solide, il s’est terminé par une victoire.
Bravo et merci à Maître Jérôme Triomphe pour sa plaidoirie déterminante.
L’ASLA est fière d’avoir pris en charge ses frais de justice.