Stop aux subventions publiques pour l’association pro-migrants SOS Méditerranée !

Le scandale : l’argent public détourné de sa vocation

SOS Méditerranée se présente comme une ONG humanitaire de secours en mer.

Mais dans les faits, elle est bien plus que cela :

  •  L’association prend ouvertement position dans le débat politique sur la politique d’immigration européenne.
  • Elle organise des événements militants, comme à Saint-Nazaire où la mairie finance, via une subvention publique, la projection du film Save Our Souls au festival Zones Portuaires : un documentaire présenté pour « décrypter les enjeux politiques et humains » des opérations de l’ONG.

Le Conseil d’État a pourtant été clair :

Une collectivité ne peut subventionner une organisation menant des activités politiques, même indirectement (décision du 13 mai 2024).

Le problème est national

Aujourd’hui, des dizaines de collectivités locales (communes, départements, régions) financent encore SOS Méditerranée à travers « la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée ».

En 2024, SOS Méditerranée a reçu plus de 1,4 MILLIONS D’EUROS EN SUBVENTIONS PUBLIQUES à travers ce mode de financement :

  • sans contrôle réel de l’utilisation des fonds,
  • sans garantie que les sommes financent uniquement une action humanitaire strictement encadrée,
  • en violant les règles de bonne gestion des deniers publics.

Ces subventions sont illégales, inefficaces et indécentes :

Pendant que nos hôpitaux débordent, nos écoles sont délabrées et les budgets sociaux diminués, on détourne l’argent public pour soutenir une association aux engagements politiques assumés à l’extrême gauche.

C’est possible : nous l’avons déjà fait.

En 2023, le Conseil d’État a annulé, à notre demande, la subvention de 15 000 € versée par la Ville de Montpellier à SOS Méditerranée.

Pourquoi ? Parce que la commune n’avait pas démontré que cette aide finançait exclusivement une action humanitaire, neutre et encadrée, comme l’exige la loi.

Cette victoire crée un précédent juridique clair.

Nous avons déjà gagné une fois : il faut désormais mettre un terme définitif à ces subventions illégales accordées à cette association ouvertement pro-immigration.

Ce que nous demandons

  1. L’arrêt immédiat de toutes les subventions publiques à SOS Méditerranée.
  2. Un contrôle strict et rétrospectif de tous les fonds déjà versés.
  3. La publication de toutes les chartes de partenariat entre les collectivités publiques et SOS Méditerranée
  4. Le respect du droit et de la neutralité dans l’utilisation des finances publiques.

Nous soutenons actuellement un recours historique devant le Conseil d’État contre la subvention de Saint-Nazaire :

  • Cette bataille est gagnable.
  • Nous avons déjà fait annuler la subvention de Montpellier.
  • Nous devons empêcher que d’autres collectivités violent la loi en toute impunité.

Pourquoi signer ?

En signant, vous envoyez un message clair :

  • L’argent du contribuable n’a pas à financer le militantisme.
  • Les règles doivent s’appliquer à tous.
  • Chaque euro d’argent public doit être affecté à l’intérêt général : santé, éducation, sécurité.

Signez maintenant et partagez autour de vous !

SOS Méditerranée n’est pas neutre.

Derrière le vernis humanitaire, elle mène un véritable combat idéologique pro-immigration, relayé dans ses prises de position, ses campagnes de communication et ses actions de terrain.

Ce type de financement détourne la loi, méprise la neutralité des institutions et trahit la confiance des contribuables.

Il est temps d’y mettre fin.

Le scandale : l’argent public détourné de sa vocation

SOS Méditerranée se présente comme une ONG humanitaire de secours en mer.

Mais dans les faits, elle est bien plus que cela :

  •  L’association prend ouvertement position dans le débat politique sur la politique d’immigration européenne.
  • Elle organise des événements militants, comme à Saint-Nazaire où la mairie finance, via une subvention publique, la projection du film Save Our Souls au festival Zones Portuaires : un documentaire présenté pour « décrypter les enjeux politiques et humains » des opérations de l’ONG.

Le Conseil d’État a pourtant été clair :

Une collectivité ne peut subventionner une organisation menant des activités politiques, même indirectement (décision du 13 mai 2024).

Le problème est national

Aujourd’hui, des dizaines de collectivités locales (communes, départements, régions) financent encore SOS Méditerranée à travers « la plateforme des collectivités solidaires avec SOS Méditerranée ».

En 2024, SOS Méditerranée a reçu plus de 1,4 MILLIONS D’EUROS EN SUBVENTIONS PUBLIQUES à travers ce mode de financement :

  • sans contrôle réel de l’utilisation des fonds,
  • sans garantie que les sommes financent uniquement une action humanitaire strictement encadrée,
  • en violant les règles de bonne gestion des deniers publics.

Ces subventions sont illégales, inefficaces et indécentes :

Pendant que nos hôpitaux débordent, nos écoles sont délabrées et les budgets sociaux diminués, on détourne l’argent public pour soutenir une association aux engagements politiques assumés à l’extrême gauche.

C’est possible : nous l’avons déjà fait.

En 2023, le Conseil d’État a annulé, à notre demande, la subvention de 15 000 € versée par la Ville de Montpellier à SOS Méditerranée.

Pourquoi ? Parce que la commune n’avait pas démontré que cette aide finançait exclusivement une action humanitaire, neutre et encadrée, comme l’exige la loi.

Cette victoire crée un précédent juridique clair.

Nous avons déjà gagné une fois : il faut désormais mettre un terme définitif à ces subventions illégales accordées à cette association ouvertement pro-immigration.

Ce que nous demandons

  1. L’arrêt immédiat de toutes les subventions publiques à SOS Méditerranée.
  2. Un contrôle strict et rétrospectif de tous les fonds déjà versés.
  3. La publication de toutes les chartes de partenariat entre les collectivités publiques et SOS Méditerranée
  4. Le respect du droit et de la neutralité dans l’utilisation des finances publiques.

Nous soutenons actuellement un recours historique devant le Conseil d’État contre la subvention de Saint-Nazaire :

  • Cette bataille est gagnable.
  • Nous avons déjà fait annuler la subvention de Montpellier.
  • Nous devons empêcher que d’autres collectivités violent la loi en toute impunité.

Pourquoi signer ?

En signant, vous envoyez un message clair :

  • L’argent du contribuable n’a pas à financer le militantisme.
  • Les règles doivent s’appliquer à tous.
  • Chaque euro d’argent public doit être affecté à l’intérêt général : santé, éducation, sécurité.

Signez maintenant et partagez autour de vous !

SOS Méditerranée n’est pas neutre.

Derrière le vernis humanitaire, elle mène un véritable combat idéologique pro-immigration, relayé dans ses prises de position, ses campagnes de communication et ses actions de terrain.

Ce type de financement détourne la loi, méprise la neutralité des institutions et trahit la confiance des contribuables.

Il est temps d’y mettre fin.