Perquisition de chambres d’enfants, braquage au réveil, arrestation sur le lieu de travail : le récit révoltant des interpellations des 15 lanceurs d’alertes.
Le jour n’est pas encore levé, mais la Brigade de Recherche de Paris et l’Office du crime organisé fait déjà les cent pas devant la porte des 15 lanceurs d’alertes suspectés d’avoir reconstitué le mouvement de jeunesse « Génération Identitaire ».
Ca y est 6h ! Les portes s’ouvrent, non pas face à de violents criminels comme voudrait le faire croire le gouvernement, mais face à des jeunes travailleurs, des étudiants, des pères et mères de famille, dans l’incompréhension la plus totale.
Une journée qui devait démarrer comme les autres mais qui restera celle où il a été braqué par arme policière, au réveil, alors même qu’il n’a aucun passé judiciaire.
Une journée qui devait démarrer comme les autres mais qui restera celle où dans les yeux de ses enfants, il a lu de la peur et de l’incompréhension face à ces policiers qui arrêtent leur papa.
Une journée qui devait démarrer comme les autres mais qui restera celle où le gouvernement a saisi tout son matériel et ses outils de travail malgré ses supplications par peur de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de sa famille.
Une journée qui devait démarrer comme les autres mais qui restera celle où il a été auditionné pendant des heures d’affilé, sans qu’on se soucie de son état de fatigue, traité comme le pire des trafiquants.
Une journée qui devait démarrer comme les autres mais qui restera celle où on est venu la chercher sur son lieu de travail, mettant en péril les relations avec son patron.
Des perquisitions qui ont duré jusqu’à 7h, des gardes-à-vue de 40h, des auditions de plus de 12h.
Voilà aujourd’hui la dure réalité infligée à des personnes qui ont simplement portées une voix contraire à celle du gouvernement.
L’objectif est bien de les faire taire, par tous les moyens, même les plus immoraux.
L’ASLA apporte son soutien aux 15 victimes de de ce coup de filet gratuit. Plus que jamais, les patriotes doivent se serrer les coudes.
L’ASLA a déjà lancé une cagnotte de 30 000 € pour régler les frais d’avocats qui ont été sollicités en urgence dans toute la France et ont dû accompagner les prévenus dans leurs auditions et les épauler juridiquement lors des gardes-à-vue.
Ils comptent sur nous, mais sans vous, ils n’ont aucune chance, faites un don.