Pétition « Il faut dissoudre le Syndicat de la Magistrature ! »
Le Syndicat de la Magistrature (SM) est l’un des principaux syndicats représentant les magistrats en France. Fondé en 1968, il se distingue par ses positions politiques marquées à gauche et son engagement pour des réformes sociales et judiciaires. Le SM se donne pour mission de défendre les intérêts professionnels des magistrats, mais ses actions vont au-delà, influençant significativement la formation et la carrière des juges à travers son influence sur l’École Nationale de la Magistrature et le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Ce syndicat a rassemblé plus de 33 % des votants aux dernières élections au Conseil supérieur de la magistrature en 2022.
Le Syndicat de la Magistrature met en danger la justice française en raison de ses violations flagrantes des principes d’impartialité, de déontologie et de respect de l’État de droit.
Les actions et les prises de position de ce syndicat sont en contradiction directe avec les devoirs et les responsabilités d’un magistrat, compromettant ainsi la confiance du peuple dans le système judiciaire.
Manquements à l’impartialité et à la déontologie
Le Syndicat de la Magistrature a, à plusieurs reprises, manqué à son devoir d’impartialité, comme l’exige la déontologie des magistrats. En participant activement à des événements politiquement orientés, tels que la Fête de l’Humanité aux côtés de La France Insoumise, le SM affiche une partialité inacceptable.
Cette proximité avec des mouvements politiques d’extrême gauche ternit gravement l’image de neutralité que les magistrats doivent maintenir.
Violations de la séparation des pouvoirs
Lors des émeutes de juin dernier, le SM avait ouvertement pris le parti des émeutiers suite à la mort de Nahël, fustigeant les forces de l’ordre et leur action.
Cette ingérence ouvertement politique dans la gestion d’une crise sociale est une atteinte grave aux principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs.
Incitation et soutien à la violence
Le « Guide du manifestant arrêté », rédigé par le SM, encourage implicitement les manifestants à défier l’autorité et à contourner la loi.
Ce manuel, présenté comme une aide légale, est en réalité une incitation à des comportements violents et subversifs, compromettant ainsi la sécurité publique.
De même, le SM a annoncé entrer en « résistance » pour empêcher « l’accession de l’extrême droite au pouvoir » au lendemain de la dissolution de l’Assemblée Nationale.
Mépris et stigmatisation
Le tristement célèbre « Mur des Cons » au siège du SM en 2013, où étaient affichées les photos de personnalités politiques, de journalistes de droite et de parents de victimes, illustre le mépris et la stigmatisation pratiqués par ce syndicat.
Cette attitude méprisante est indigne de la fonction de magistrat et crée un climat de suspicion et de doute quant à l’impartialité des juges affiliés au SM.
L’ancienne président du SM Françoise Martres a été condamné pour injures publiques dans cette affaire en 2021.
Influence idéologique et politique
Le SM revendique ouvertement une idéologie marxiste, prônant le renversement violent de la démocratie. Cette influence idéologique se manifeste dans la vie administrative de la magistrature, notamment par son emprise sur l’École Nationale de la Magistrature et le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Cette domination idéologique pose un réel danger pour l’indépendance et l’impartialité de la justice en France.
Laxisme judiciaire
Des affaires récentes, telles que l’exonération de l’assassin du Dr Sarah Halimi, soulèvent des questions légitimes sur l’influence du SM dans les décisions judiciaires « politiques ».
Ces décisions suscitent une profonde inquiétude quant à l’intégrité et à l’impartialité de notre système judiciaire.
Nous exigeons :
- La dissolution immédiate du Syndicat de la Magistrature pour pratiques contraires aux principes démocratiques et républicains.
- La mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire pour s’assurer qu’aucun déni de justice idéologique ne soit à déplorer et pour sanctionner leurs auteurs.
Il est impératif pour la sécurité des Français et pour la confiance des citoyens dans le système judiciaire que le Syndicat de la Magistrature soit dissous.
Nous ne pouvons tolérer qu’un syndicat affichant une telle partialité et une telle influence idéologique continue de dominer la vie judiciaire de notre pays.
Signez cette pétition pour exiger la dissolution du SM et rétablir l’intégrité de notre justice, impartiale et indépendante !
Le Syndicat de la Magistrature (SM) est l’un des principaux syndicats représentant les magistrats en France. Fondé en 1968, il se distingue par ses positions politiques marquées à gauche et son engagement pour des réformes sociales et judiciaires. Le SM se donne pour mission de défendre les intérêts professionnels des magistrats, mais ses actions vont au-delà, influençant significativement la formation et la carrière des juges à travers son influence sur l’École Nationale de la Magistrature et le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Ce syndicat a rassemblé plus de 33 % des votants aux dernières élections au Conseil supérieur de la magistrature en 2022.
Le Syndicat de la Magistrature met en danger la justice française en raison de ses violations flagrantes des principes d’impartialité, de déontologie et de respect de l’État de droit.
Les actions et les prises de position de ce syndicat sont en contradiction directe avec les devoirs et les responsabilités d’un magistrat, compromettant ainsi la confiance du peuple dans le système judiciaire.
Manquements à l’impartialité et à la déontologie
Le Syndicat de la Magistrature a, à plusieurs reprises, manqué à son devoir d’impartialité, comme l’exige la déontologie des magistrats. En participant activement à des événements politiquement orientés, tels que la Fête de l’Humanité aux côtés de La France Insoumise, le SM affiche une partialité inacceptable.
Cette proximité avec des mouvements politiques d’extrême gauche ternit gravement l’image de neutralité que les magistrats doivent maintenir.
Violations de la séparation des pouvoirs
Lors des émeutes de juin dernier, le SM avait ouvertement pris le parti des émeutiers suite à la mort de Nahël, fustigeant les forces de l’ordre et leur action.
Cette ingérence ouvertement politique dans la gestion d’une crise sociale est une atteinte grave aux principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs.
Incitation et soutien à la violence
Le « Guide du manifestant arrêté », rédigé par le SM, encourage implicitement les manifestants à défier l’autorité et à contourner la loi.
Ce manuel, présenté comme une aide légale, est en réalité une incitation à des comportements violents et subversifs, compromettant ainsi la sécurité publique.
De même, le SM a annoncé entrer en « résistance » pour empêcher « l’accession de l’extrême droite au pouvoir » au lendemain de la dissolution de l’Assemblée Nationale.
Mépris et stigmatisation
Le tristement célèbre « Mur des Cons » au siège du SM en 2013, où étaient affichées les photos de personnalités politiques, de journalistes de droite et de parents de victimes, illustre le mépris et la stigmatisation pratiqués par ce syndicat.
Cette attitude méprisante est indigne de la fonction de magistrat et crée un climat de suspicion et de doute quant à l’impartialité des juges affiliés au SM.
L’ancienne président du SM Françoise Martres a été condamné pour injures publiques dans cette affaire en 2021.
Influence idéologique et politique
Le SM revendique ouvertement une idéologie marxiste, prônant le renversement violent de la démocratie. Cette influence idéologique se manifeste dans la vie administrative de la magistrature, notamment par son emprise sur l’École Nationale de la Magistrature et le Conseil Supérieur de la Magistrature.
Cette domination idéologique pose un réel danger pour l’indépendance et l’impartialité de la justice en France.
Laxisme judiciaire
Des affaires récentes, telles que l’exonération de l’assassin du Dr Sarah Halimi, soulèvent des questions légitimes sur l’influence du SM dans les décisions judiciaires « politiques ».
Ces décisions suscitent une profonde inquiétude quant à l’intégrité et à l’impartialité de notre système judiciaire.
Nous exigeons :
- La dissolution immédiate du Syndicat de la Magistrature pour pratiques contraires aux principes démocratiques et républicains.
- La mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire pour s’assurer qu’aucun déni de justice idéologique ne soit à déplorer et pour sanctionner leurs auteurs.
Il est impératif pour la sécurité des Français et pour la confiance des citoyens dans le système judiciaire que le Syndicat de la Magistrature soit dissous.
Nous ne pouvons tolérer qu’un syndicat affichant une telle partialité et une telle influence idéologique continue de dominer la vie judiciaire de notre pays.
Signez cette pétition pour exiger la dissolution du SM et rétablir l’intégrité de notre justice, impartiale et indépendante !