Bobigny, siège de SOS Méditerranée : l’injustice s’acharne contre les jeunes identitaires
En quelques semaines, des jeunes identitaires ont été condamnés lourdement pour des actions totalement pacifiques. Prison avec sursis, prison ferme et indemnisations exorbitantes pour avoir occupé le siège de SOS Méditerranée et le toit de la Caisse des Allocations Familiales de Bobigny. Autrement dit, casier judiciaire et saisie d’importantes sommes sur les comptes bancaire d’étudiants et de jeunes actifs : c’est le tarif dans la France d’Emmanuel Macron, de Gérard Darmanin et d’Éric Dupont-Moretti pour se dresser contre l’invasion migratoire.
Ce week-end, des émeutiers d’ultra-gauche ont blessé une soixantaine de gendarmes. Nous pouvons d’ores et déjà parier qu’aucune des milices impliquées ne sera dissoute. Personne ne l’a d’ailleurs réclamé. Mieux, Jean-Luc Mélenchon a même osé dénoncer la violence des forces de l’ordre. Plus tôt en octobre, des immigrés clandestins ont envahi l’hôtel de ville de Paris pour exiger des logements. En réaction la mairie de Paris n’a pas porté plainte, au contraire. Les envahisseurs ont été reçu par le communiste Ian Brossat, l’adjoint au logement, qui leur a promis de réaliser un « diagnostic social ».
La différence de traitement est flagrante. Elle est aussi systématique. Elle reste insupportable. Pour combattre ces injustices, vous pouvez aider les jeunes identitaires à faire appel et à se pourvoir en cassation en faisant un don à l’Association de soutien aux lanceurs d’alerte qui prend en charge leurs importants frais d’avocats.