Pétition – Stop au projet Bergé : refusons la censure idéologique, institutionnalisée et subventionnée

Le gouvernement, par la voix de Mme Aurore Bergé, veut confier à une coalition d’associations militantes de gauche un accès prioritaire à l’ARCOM pour signaler et faire retirer des contenus qu’elles jugeraient “haineux”. Le tout financé par l’argent public, avec des moyens spécifiques alloués à ces structures pour organiser cette censure.

Sous couvert du nouveau cadre européen qui régit les plateformes en ligne (DSA), ce projet externalise le pouvoir de censurer : une mission qui ne doit appartenir ni à l’État, ni à des acteurs privés, mais au juge, dans un cadre contradictoire et impartial.

Une censure externalisée et partisane
Le pouvoir de signalement prioritaire n’est plus exercé dans un cadre neutre et juridiquement contrôlé, mais délégué à des acteurs privés, militants et idéologiquement engagés à gauche.

La liberté d’expression n’a pas à être triée par des militants politiques subventionnés.
Elle ne peut dépendre ni d’un État censeur, ni de groupes privés financés par l’État et investis d’un pouvoir prioritaire de dénonciation. Ce mécanisme crée un biais structurel : les opinions critiques des causes portées par ces associations seront mécaniquement plus exposées à la censure.

On ne protège pas la démocratie en déléguant la police de la parole à des militants de gauche, on l’affaiblit.
On ne lutte pas contre la “haine” en installant un privilège d’accès pour des groupes militants sélectionnés par le pouvoir.

Notre demande, unique et claire
Nous demandons le retrait pur et simple du dispositif qui prévoit :

– Le financement public de cette coalition d’associations pour la surveillance et le signalement des contenus ;

– L’accès prioritaire à l’ARCOM pour ces mêmes associations militantes de gauche.

La liberté d’expression ne se sous‑traite pas, ne se finance pas, ne se censure pas.

Signez cette pétition pour défendre un principe simple et non négociable

Le gouvernement, par la voix de Mme Aurore Bergé, veut confier à une coalition d’associations militantes de gauche un accès prioritaire à l’ARCOM pour signaler et faire retirer des contenus qu’elles jugeraient “haineux”. Le tout financé par l’argent public, avec des moyens spécifiques alloués à ces structures pour organiser cette censure.

Sous couvert du nouveau cadre européen qui régit les plateformes en ligne (DSA), ce projet externalise le pouvoir de censurer : une mission qui ne doit appartenir ni à l’État, ni à des acteurs privés, mais au juge, dans un cadre contradictoire et impartial.

Une censure externalisée et partisane
Le pouvoir de signalement prioritaire n’est plus exercé dans un cadre neutre et juridiquement contrôlé, mais délégué à des acteurs privés, militants et idéologiquement engagés à gauche.

La liberté d’expression n’a pas à être triée par des militants politiques subventionnés.
Elle ne peut dépendre ni d’un État censeur, ni de groupes privés financés par l’État et investis d’un pouvoir prioritaire de dénonciation. Ce mécanisme crée un biais structurel : les opinions critiques des causes portées par ces associations seront mécaniquement plus exposées à la censure.

On ne protège pas la démocratie en déléguant la police de la parole à des militants de gauche, on l’affaiblit.
On ne lutte pas contre la “haine” en installant un privilège d’accès pour des groupes militants sélectionnés par le pouvoir.

Notre demande, unique et claire
Nous demandons le retrait pur et simple du dispositif qui prévoit :

– Le financement public de cette coalition d’associations pour la surveillance et le signalement des contenus ;

– L’accès prioritaire à l’ARCOM pour ces mêmes associations militantes de gauche.

La liberté d’expression ne se sous‑traite pas, ne se finance pas, ne se censure pas.

Signez cette pétition pour défendre un principe simple et non négociable