Occupation du siège de SOS Méditerranée par Génération Identitaire en 2018 : suite au procès, des sanctions judiciaires délirantes à l’encontre des 23 militants. - ASLA

Occupation du siège de SOS Méditerranée par Génération Identitaire en 2018 : suite au procès, des sanctions judiciaires délirantes à l’encontre des 23 militants.

Jeudi 20 octobre, les militants ayant pris part à l’occupation des locaux de SOS Méditerranée ont été condamnés à des peines allant de 6 mois de prison avec sursis jusqu’à un an de prison ferme pour Romain Espino, ancien porte-parole de Génération Identitaire. Aux diverses peines d’inéligibilité et aux interdictions de se rendre à Marseille (pour une durée allant jusqu’à 5 ans) s’ajoutent des dommages et intérêts d’un montant de 100 000 euros.

La démesure de ces sanctions pour une action pacifiquement menée est délirante. Cette décision illustre le deux poids deux mesures d’une justice à géométrie variable, qui fait plus pour condamner les lanceurs d’alerte patriotes que les conséquences mortifères de l’immigration qu’ils dénoncent. La décision rendue par le tribunal de Marseille démontre de la part de l’institution judiciaire française une volonté de nuire à ceux qui dénoncent l’immigration clandestine à travers une justice militante.

Ces jeunes militants identitaires ont besoin de votre soutien : il s’agit du plus important procès auquel les militants identitaires ont dû faire face. Le jugement est assorti d’une exécution provisoire, signifiant que les comptes bancaires des jeunes identitaires peuvent être saisis malgré l’appel. Une décision lourde de conséquences pour des étudiants, parents et jeunes travailleurs. Il sera fait appel de cette décision inique, afin de faire respecter les droits des lanceurs d’alerte : pour lutter contre cette injustice vous pouvez les aider en faisant un don à l’Association de soutien aux lanceurs d’alerte qui prend en charge leurs importants frais d’avocats.